Communiqué de presse des Amis de la Terre et de Greenpeace.
Au lendemain d'une rencontre avec la Coface et la Société Générale qui pourraient garantir et financer le projet nucléaire de Kaliningrad en Russie via le financement export de turbines d'Alstom, les Amis de la Terre et Greenpeace dénoncent les risques énormes (économiques, corruption, droits humains, gestion des déchets) de ce projet à dimension géopolitique qui fait l'objet d'une forte opposition locale. Ils demandent à l'Etat et à la Société Générale de tirer les leçons de Fukushima et d'abandonner leur double discours en renonçant à ce projet immédiatement, comme l'a déjà fait BNP Paribas.
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